Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Quand le capital se joue du travail
24 décembre 2013

1. Chronique d'un désastre permanent

Ainsi que je l'ai écrit sur la quatrième de couverture de l'ouvrage "Quand le capital se joue du travail" (Editions Paroles Vives, 2012) :

"Ce jeu, qui anime désormais le monde dans sa totalité, est d'abord placé sous le contrôle de la finance internationale.
C'est à elle de déterminer, à partir d'une comptabilité qui est sienne, les schémas moteurs qui imprimeront à la main-d'oeuvre la meilleure façon de se faire exploiter et de vivre la vie qui s'y conjoint, jusqu'à ce qu'il devienne nécessaire d'aller faire la guerre ou de la subir pour permettre aux dominants la destruction de ce que le capitalisme ne peut plus voir que comme des êtres superflus : il y va, pour ces dominants, de la survie des jouissances multiples qui font le sel de la position qu'ils ont acquise.
Voilà bien la leçon qui se dégage de l'Histoire de l'Europe au moins depuis trois siècles.
Or, compte tenu de la déshérence actuelle des populations au travail ou en chômage, cette leçon laisse craindre qu'il faille prochainement renouer avec le pire."

Michel J. Cuny

Publicité
Publicité
Commentaires
Quand le capital se joue du travail
  • "Pour que la société soit heureuse et que le peuple soit tranquille dans la situation la plus basse, il est nécessaire qu'un grand nombre en soit ignorant aussi bien que pauvre." Bernard Mandeville, 1714. Voilà où nous en sommes, encore et toujours...
  • Accueil du blog
  • Créer un blog avec CanalBlog
Publicité
Archives
Publicité